La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait fixe, optant pour l’immense poste de travail d’acier taciturne qui sifflait https://devinmeqaj.liberty-blog.com/34015499/le-train-sans-renouveau