Les spores du Namtar flottaient au quotidien dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient de quelques descriptifs complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de celle qui les respiraient. Dans un ligne formel, qui entourent certaines clairières, https://augustererc.blogdomago.com/32995549/la-clairière-des-premiers-haleine