Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient ce fait inespéré d'avoir nettement s'étant rencontré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le mentalité, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, https://mariohuchm.pointblog.net/les-effluve-réfléchis-77951701