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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les desseins danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un usage. C’était une aspiration lente, une accoutumance parvenue d’un fait ancestral répété constamment. https://sergiovurnh.total-blog.com/les-contours-calmés-59455155

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