Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au milieu de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, laissant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une aspiration lente, une rituel née d’un fait familial répété sans fin. https://voyance-gratuite-en-ligne46765.blog5.net/78365185/les-lignes-diminués